Derrière le plan d’austérité à Grenoble les ordres de l’Union Européenne
Publié le 27 Juillet 2016
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Le 11 juillet dernier, les agents des services municipaux, les associations de quartier, les citoyens de Grenoble manifestaient leurs oppositions à ce qu’il faut bien appeler un plan d’austérité à la ville de Grenoble.
On se souvient qu’une municipalité reposant sur une alliance EELV-PG et d’un collectif associatif citoyen avait battu au second tour des municipales les listes de la droite (PS et LR) suscitant de légitimes espoirs au vu du programme défendu alors. Mais celui-ci, sous la double pression de l’euro-austérité d’une part et du mouvement d'euro-métropolisation, fait pour partie long feu.
Après l’épisode de la « privatisation » de l’éclairage municipale, voila celui de la fermeture de bibliothèques, d’antenne municipale, la casse du service de santé scolaire municipale ou des coupes sombres au CCAS.
A l’échelon municipale aussi, difficile sans volonté de combattre réellement et concrètement l’euro-austérité de proposer une politique de gauche, impossible à réaliser sans briser les chaînes de l’Union Européenne ou s’opposer à la balkanisation de la République faisant disparaître les communes et départements au profits d’euro régions et d’euro métropoles.
Dans un communiqué le PRCF 38 propose une analyse de la situation et rappelle ses propositions.
Les militants du PRCF 38 étaient présents dans la manifestation du 11 juillet, faisant parvenir à la rédaction d’initiative communiste les photos illustrant cet article.
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