Le Che parle
Publié le 9 Décembre 2005
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« Une fois de plus, j’ai pu me rendre compte de l’horreur de ces pieuvres capitalistes. J’ai juré sur un portrait du vieux et regretté camarade Staline que je ne prendrais plus de repos avant que soient détruites ces pieuvres capitalistes. »
« Surtout, soyez toujours capables de ressentir au plus profond de votre coeur n'importe quelle injustice commise contre n'importe qui, où que ce soit dans le monde. C'est la plus belle qualité d'un révolutionnaire »
« Il convient de considérer Staline à partir du cadre historique dans lequel il évolue, il ne faut pas se contenter de le considérer comme l’une ou l’autre brute, mais au sein de ce cadre historique particulier... C’est le petit père Staline qui m’a amené au communisme et personne ne viendra me dire que je ne puis lire Staline. Je l’ai lu à une époque où il était très mal vu de le lire. C’était une autre époque. Et parce que je ne suis déjà pas très malin, et qu’en plus je suis un cabochard, je continue à le lire aujourd’hui encore, dans cette période nouvelle, maintenant qu’il est encore plus mal vu de le lire. Et tant à l’époque qu’aujourd’hui, je découvre chez Staline toute une série de choses qui sont très bonnes. »
"La guérilla est la guerre du peuple tout entier contre l'oppresseur."